M. et Mme Smith reçoivent M. et Mme Martin au cours d’une très ordinaire soirée petite-bourgeoise dans les environs de Londres, légèrement troublée par l’agressivité de la bonne, les deux couples échangent des propos d’une banalité affligeante scandés par les coups de la pendule devenue folle. A trois reprises, on sonne à la porte sans que personne ne se présente. La quatrième fois, le capitaine des pompiers vient les rejoindre. Tous se lancent alors dans le récit d’anecdotes parfaitement insignifiantes jusqu’à ce que la bonne vienne y mettre son grain de sel. Cette conversation sans queue ni tête passe par des phases d’agressivité latente pour s’achever dans les onomatopées et le non-sens.
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