Boeing Boeing

Un spectacle des Comédiens de la Tour
2007
Livre d'or
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Ciel, mes hôtesses !

Distribution

Avec :

  • Janet : Sophie Raoul-Jourde, puis Caroline Pons
  • Bernard : Laurent Viers
  • Berthe : Marie-Thérèse Dutartre
  • Robert : Benoît Meigné puis Christophe Ecobichon
  • Jacqueline : Valérie Poncet puis Dalila Neuman puis Alexandra Bergonzoni
  • Judith : Géraldine Mollaret puis Alexandra Hervé puis Marie Le Cabec

Mise en scène : Sylvie Langlois

Régie son et lumières : Christophe Ecobichon, Jérôme Droit et Gérard Foucher puis Gérard Foucher, Corinne Goutard et Laurent Poignant

Décor : Christophe Ecobichon, Sylvie Langlois, Géraldine Mollaret, Benoît Meigné, Philippe Prévost, Laurent Viers, Anne-Sophie Zanelli, Françoise Zanelli

Nos sélections
  • Les Comédiales de Vernouillet – 30 novembre 2007
  • Théâtre en Jeu – 26 janvier 2008 (Chanteloup)
  • Rencontres de Théâtre amateur d’Issy et d’Ailleurs – 29 mars 2008
  • Festival de théâtre de Bougival – 12 octobre 2008
  • Festival Villennes-sur-Scène – 14 octobre 2016
  • Festival des Escholiers d’Annecy – 25 mai 2017
  • Festi86 – 7 octobre 2017 (Latillé)
L'histoire

Bernard, jeune architecte libéral de son métier, mène en plein Paris une vie parfaitement polygame, sans les inconvénients du mariage. Fidèle à ses trois fiancées hôtesses de l’air, qui bien sûr ignorent tout de la situation, il jongle habilement avec les fuseaux horaires. Sa complice ? Sa bonne tout à fait rodée aux modes opératoires de préparation du terrain.
Mais attention, un ennemi impitoyable va dérégler les pendules… le 747, tout nouveau modèle de la firme Boeing, bien plus rapide…

La pièce

Créée en 1960, cette comédie de Boulevard figure au Guiness Book des records comme la pièce française la plus représentée à l’étranger.
Avec les années, Marc Camoletti a fait évoluer son Boeing car à sa création, le 747 n’existait pas. C’était encore le 707.
La mécanique comique selon Camoletti :
Pour moi, qui m’attache au pur comique de situation, je ne peux commencer à écrire sans avoir établi précisément la situation et avoir ménagée ses rebondissements jusqu’au baisser de rideau final.
Car les paroles dans le dialogue en dépendent rigoureusement, elles sont le moyen de conduire infailliblement, de moment en moment, jusqu’à la situation finale. Les personnages ne doivent parler que pour assurer le fonctionnement de ce mécanisme. Ils n’ont aucune liberté ; leurs répliques constituent un écheveau serré dont ils sont prisonniers.
Interprète de mes pièces, j’ai réalisé comme l’effet dépend de l’exactitude du phrasé. Le jeu comique a un caractère musical. Dans l’absolu, la distribution devrait être faite en fonction des timbres de voix. Le problème du ton est capital, un ton faux en réalité, mais qui donnera le sentiment de la vérité.

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