J’y suis, j’y reste
Notre 1ère pièce !
Distribution
Avec (par ordre d’entrée en scène) :
Antoinette : Françoise Olek
La comtesse : Dominique Paillet
Lucie, la femme de Chambre : Marie-Annick Roussel
Gisèle : Danielle Coutarel
Le Cardinal : Jean-Pierre Ecobichon
Le Baron Hubert : Henri Merveille
Patrice, le majordome : Claude Ecobichon
Jules, le fiancé d’Antoinette : Alain Guillon
Décors : Claude Ecobichon avec la collaboration de P. Besnier, F. Blanchet, P. Blanchet, A. Bougey, M. Joly, H. Merveille, D. Paillet, J.F. Renaud, M.A. Roussel, A.Sarras, J.P.Ecobichon
Accessoires : Henri Merveille, Dominique Paillet
Costumes : Maisons Vachez, Traonouez, Badin, Sil
L'histoire
Une restauratrice du quartier des Halles s’est fait dérober son sac à main contenant ses papiers d’identité. Dix ans plus tard, voulant épouser son barman, elle apprend que sa voleuse a épousé, en empruntant son propre nom, un jeune baron. Elle décide, alors, de se présenter au manoir de son «époux légal » pour lui dévoiler la vérité et réclamer le divorce, semant la perturbation dans l’existence du baron et de sa tante, une comtesse très à cheval sur les traditions. Finalement, c’est un cardinal, en visite au château, qui trouvera une issue à cette situation.
La pièce
La pièce de Raymond Vinci et Jean Valmi est créée au théâtre du Gymnase le 20 décembre 1950.
La création est un succès. La pièce dépasse le millier de représentations, et reste à l’affiche pendant plus de trois ans. Elle est diffusée ensuite à la télévision dans le cadre de l’émission Au théâtre ce soir pour la première fois en 1966 et, dans une autre version, en 1984. Dans ces deux versions, c’est Jacques Morel qui interprète le rôle du Cardinal.
Une adaptation au cinéma est réalisée par Maurice Labro, J’y suis, j’y reste, et sort en 1954.