Saison 2019-2020,  Spectacle Comédiens de la Tour

Comme s’il en pleuvait

De Sébastien Thiery. Par les Comédiens de la Tour. Mise en scène de Jany Darnault et Jean-Baptiste Compiègne.

Représentations
  • Vendredi 10 janvier à 21h
  • Samedi 11 janvier à 21h
  • Dimanche 12 janvier à 16h
  • Jeudi 16 janvier à 21h
  • Vendredi 17 janvier à 21h
  • Samedi 18 janvier à 21h
  • Dimanche 19 janvier à 16h
Nos spectateurs en parlent

« Sébastien Thiery incontournable, porté par un couple d’acteurs à la hauteur pour passer un bon moment. L’argent a fait notre bonheur ce soir dans la salle… Bravos à tous ! »

« Un grand bravo à la troupe. D’excellents amateurs qui valent des professionnels. Tout était parfait. Très naturel. »

Entre situations cocasses et angoisse, fous rires et terreur, Sébastien Thierry nous plonge avec délice dans une pièce complètement folle.

Bruno et Laurence, un couple sans histoires, découvrent un soir de l’argent dans leur salon. Tous les jours, des billets de banque apparaissent, de plus en plus nombreux, comme s’il en pleuvait… D’où vient cet argent ? Qu’ont-ils fait pour le mériter ? Cette richesse soudaine est-elle une chance ou une malédiction ? Une comédie désopilante sur l’argent qui rend fou.

Avec Olivier Bulteau, Laurence Copsidas, Agnès Henry et Fabrice Norka

Comme s’il en pleuvait

Un spectacle des Comédiens de la Tour
2019

Oui, j’aime le fric ! Oui, j’aime l’argent ! J’en boufferais tellement que j’aime ça

Distribution

Avec (par ordre d’entrée en scène) :

  • Bruno : Olivier Bulteau
  • Laurence : Agnès Henry
  • Teresa : Laurence Copsidas 
  • Le voisin : Fabrice Norka

Mise en scène : Jany Darnault et Jean-Baptiste Compiègne

Conception décor : Les Décomédiens, Jean-Baptiste Compiègne, Jany Darnault

Réalisation décor : Olivier Baudry, Jean-Baptiste Compiègne, Jany Darnault, Christophe Écobichon, Viviane Poret (portraits des parents)

Costumes : Jenny Bennitt

Régie générale : Renaud de Verdilhac,  Étienne Rilba

Régie plateau : Eloïse Blanc

Photos : Gérard Foucher

Affiche : Jean-Baptiste Compiègne, Jany Darnault, Gérard Foucher, Franck Martinière

Remerciements à Barbara Schiess-Meissner pour le prêt du sac Vuitton et à la Maison Petrossian Paris pour le sac et la boîte de caviar.

Nos sélections
  • Festival de théâtre de Bougival – 2 octobre 2020
  • Festival de théâtre amateur de Paris – 6 novembre 2021
  • Festival Les Fous Rires de Courbevoie – 28 janvier 2022
  • Festival Sud’Oise sur scène (Saint-Maximin) – 13 octobre 2022
L'histoire

Bruno et Laurence, un couple sans histoires, découvrent un soir de l’argent dans leur salon. Tous les jours, des billets de banque apparaissent, de plus en plus nombreux, comme s’il en pleuvait… D’où vient cet argent ? Qu’ont-ils fait pour le mériter ? Cette richesse soudaine est-elle une chance ou une malédiction ? Une comédie désopilante sur l’argent qui rend fou.

La pièce

Sébastien Thiéry a écrit le rôle de Bruno en pensant à Pierre Arditi qui s’est beaucoup amusé à jouer un personnage aussi loin de lui. « On rit beaucoup » affirme-t-il, « mais ce ne sont pas simplement des situations « pour » faire rire. Il y a en lui beaucoup plus : un regard féroce, sombre sur le monde, notre société et plus largement notre condition. C’est une manière de débusquer dans la société l’absurdité, le non-sens, les impasses ».

 « Comme s’il en pleuvait s’inscrit dans la même veine que Cochons d’Inde » affirme Sébastien Thiéry. « Il n’y a aucune explication sur la situation de départ. Des billets de banque apparaissent tous les jours, de plus en plus nombreux, dans l’appartement d’un couple de gauche sans qu’il y ait d’explication rationnelle à cela. Cet argent immérité les rendra fous, les divisera et les ébranlera dans leurs convictions. Cette pièce raconte l’histoire d’un homme de gauche qui se retrouve en contradiction avec ses idées, à partir du moment où il devient injustement riche ».  (Extrait d’un entretien avec Sébastien Thiéry pour L’avant-scène théâtre).

Pour Bernard Murat, le metteur en scène qui l’a montée à Paris, « le grand sujet de la pièce est l’argent, l’argent qui rend fou. L’argent est ici comme une bête monstrueuse qui surgit sur le plateau comme sur le plancher de l’appartement, une bête qui enfle, qui bouge, qui respire en quelque sorte… ce qui est intéressant ce n’est pas ce qui va se passer mais comment cela va se passer ».

La galerie photos

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